j'ai soif de sang... (pv suzaku et Ayaté)

*Comment ça pire?
Je trouve déjà qu'il est pas bien, alors comment peut-il être pire!!*

Elle le regardait sans parler. Ce Ayaté la mettait mal à l'aise.

"Euh..
Bonjour."

Ell ene savait pas quoi dire d'autre.

Suzaku se sentait mal à l'aise. Pour elle, s'était comme si elle avait fait quelque chose de mal et qu'on voulait la punir en l'ignorant.

*Il me fait appeler et il ne dit rien.
Franchement, il pourrait faire un effort.*

"Bon, pourquoi m'avez vous appelé?
Si c'était pour que je parle toute seule durant mille ans, c'était pas la peine.
Bon d'accord, vous avez pas vraiment l'air en forme pour parler mais un effort est possible, non?
..."

Elle soupira.
Comment avait-elle pu tomber amoureuse de lui?
Bien sûr, elle ne se souvenait toujours de rien.

"Il paraîtrait que vous et moi nous nous aimions avant.
Est ce vrai?
Parce que... si je suis tombée d'un homme aussi... ... mou que vous, c'est que je devais avoir un grain.
Non, mais sans rire."

Tant qu'à y être autant dire tout ce qu'elle pensait, de toute manière, il ne lui répondrait pas.

"Je veux bien croire aussi que certaines femmes soient attirées par vos yeux mais, il faut dire que c'est plutôt flippant.
En plus, le costume cravate, c'est démodé depuis des siècles en enfer."

Elle s'assit sur le sol tout en le regardant d'un air interrogatif.

*Comment ça je n'aurais pas du?
J'ai engagé la conversation.*

"Reportes la fautes sur moi, vas y.
Qui te dis que ce n'est pas toi qui es responsable de ton propre changement?
Pourquoi rejettes tu la fautes sur moi?
Si tu as réagis comme ça, c'est pas mon problème."

Elle croisa les bras.

*Ce n'est pas de ma faute si tu es devenu comme ça.*

"Vous voir?
Je suis justement en train de vous voir et c'est pas joli."

*Mon Dieu, qu'est ce que j'ai pu faire pour aimer un homme avec un tel caractère!!!*

Au fond d'elle, elle sentait un pincement au coeur, mais sa mémoire ne voulait toujours pas refaire surface.

"Vous savez, je ne suis pas tout à fait la Suzaku que vous connaissez.
Je suis juste l'enfant qui est en elle.
Je ne sais pas comment l'expliquer mais j'ai l'impression que la femme que vous avez connu ne veux plus revenir.
Il me semble qu'elle a vraiment souffert et qu'elle ne veut plus vous voir, ni vous parler malgré le fait qu'elle vous aime encore comme un folle parce qu'elle ne veut plus de cette douleur."

Un frisson monta en elle.

"Il semble qu'elle vous aime énormément."

Elle se tourna vers le démon à l'entrée et lui fit signe de quitter la pièce. Celui ci rechigna un peu mais finit par sortir.

"Je suis un peu jeune, donc je ne comprends pas tout ça, mais...
Je peux dire qu'elle vous aime.
En fait rien qu'à la réaction de son corps, j'aurais pu le dire.
Rien qu'en entendant votre nom un frisson parcourt son corps.
Et maintenant qu'elle vous voit, elle n'a même pas peur, elle .... comment dire... Elle aurait sans aucuns doutes envie de se jetter dans vos bras pour vous embrassez.
Et... plus si affinité. Enfin, je crois que c'est ça mais je n'en suis pas sûre."

La Suzaku qu'il avait devant les yeux été encore très jeune aussi se discourt la mit mal à l'aise.

Suzaku se jeta vers lui.

"Ayaté...
BAKAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA."

Elle fondit en larme tout en se serrant contre lui.

"Baka.
Baka.
Ayaté no Baka."

Elle continuait à pleurer tout en frappant doucement le torse du jeune homme à l'aide de ses poings.

"Ayaté."

*Un docteur, je vous en prit.
Appels un docteur.*

Cette ordre était destiné au démon qui gardé la porte.

"Merci docteur."

Un fois qu'il fut dehors, Suzaku devint rouge de colère.

"QUATRE FOIS!!!!
NON MAIS FRANCHEMENT.
JE SUIS PARTIE DEPUIS UNE SEMAINE ET DEMI, ET TOI TU TE....
GRRRRRRRR."

Elle prit la main du jeune homme puis le téléporta dans son lit.

*Les hommes sont tellement c*n.
Il peuvent pas penser raisonnablement, non.*

Suzaku sortit de la chambre du jeune Roi.

"Il m'énerve, il m'énerve, il m'énerve."

Cet évenement lui avait donné soif. Alors, laissant de côté cette crise, elle se dirigea vers le donjon.

*Il me semble bien qu'il y ai deux ou trois executions de prévues aujourd'hui.
Autant que je le morde avant.*

Une fois arrivée au donjon, elle ouvrit la porte d'une cellule. Quelques secondes après, on entendit un petit cris étoufé.

"Pas mauvais.
Les criminels ont toujours meilleurs goût."

Suzaku renouvela l'expérience trois fois encore avant de sortir du donjon pour retourner à la salle du trône.

La jeune femme s'assit sur l'accoudoir du trône. Elle aimait bien cette place. Bien sûr, c'était loin d'être aussi confortable que le trône en lui même.

*Je me demande comment il va.*

Suzaku ferma les yeux.

*Et dire que cela fait deux semaine facilement que je ne suis pas revenue ici.
C'est bizarre, mais ça ne m'a pas manqué des masses.*