sexe symbole ?

"Je n'en ai rien à faire.
Je ne veux plus le voir.
Si il n'a pas comprit que je ne l'aimais plus, c'est son problème."

Elle tourna le dos à ses assaillants.

"Non, ce n'est jamais amusant.
Je n'ai pas ressentit de plaisir à faire ce geste là.
Je l'ai fait parce que je ne supportais plus Ayaté.
Rien de plus, rien de moins.
On ne sait pas pourquoi un jour, on aime une personne, et le jour suivant, on ne peut plus la voir.
Alors qu'il me laisse tranquille.
Je ne reviendrais pas sur ce que j'ai dit.
Je ne veux plus avoir à faire à lui."

Suzaku serra sa fille contre elle à nouveau. Elle ne souhaitait pas qu'Ayaté ait le plaisir de voir leur enfant.
Pour en être sûre, elle se téléporta dans un lieu où personne même pas le roi ne pourrait la trouver.

Suzaku s'assit au sol, sa fille dans les bras.

"Pourquoi a-t-il fallu qu'il fasse une telle crise.
Il n'aurait pas pu faire comme tout les autres hommes?
Non, il fallait qu'il fasse ça.
Oh mon Dieu, ne me laissera-t-il jamais aller en paix?!"

Suzaku se téléporta à nouveau chez elle une fois qu'elle se sentit en sécurité.

La jeune femme recommença à vaguer à ses occupations sans même se soucier une fois de plus d'Ayaté.
Il était mort, point final. Il ne viendrait plus jamais la tourmenter, c'était certain pour elle. Alors tout allait bien dans le meilleur des mondes.
La jeune femme posa sa fille sur sa couverture et lui fit écouter une petite mélodie.

"Reste là, je vais m'occuper du repas."

Suzaku se dirigea vers la cuisine en jetant tout de même quelques coups d'œil en arrière. Ça ne lui plaisait pas du tout de laissa sa fille sans surveillance. Mais elle pourrait se protéger, ça elle en était certaine. Elle avait réussit à bloquer temporairement le Roi à sa puissance la plus faible alors que celui ci tenté de détruire son bouclier.
Il suffirait qu'elle crée un bouclier ne serait que deux fois plus puissant pour tout contrer.

La fille de suzaku ne semblait vraiment pas vouloir rester un enfant. Cela faisait presque une semaine qu'elle avait accouché et la petite Psyché n'était plus si petite que ça.
En si peu de temps, elle avait grandi à une vitesse encore plus impressionnante que durant la grossesse. Psyché avait presque l'air d'une jeune femme. Suzaku ne comprenait pas encore ce qu'il s'était passé. Elle était même paniqué au départ. Elle se posait beaucoup de questions sur l'éducation de sa fille. Mais celle ci semblait avoir toutes les connaissances neccessaire, elle exelait même dans un grand nombre de domaines.

"Psyché... Tu veux bien mettre la table?
-Oui maman."

Suzaku était assez heureuse de vivre comme ça.

Mais c'est bien sûr ce qu'il croyait.
Bien qu'Ayaté pense que tout ses pouvoirs aient disparu, c'était totalement faux. Psyché était toujours aussi forte. Elle en était bien consciente, mais ne les montrait pas.
Suzaku lui avait appris à se faire discrète.

Peu importait la puissance de Ayaté. Psyché le surpassait de loin, c'est juste qu'elle était plus modeste, beaucoup plus modeste que son père.

Psyché mit alors la table comme sa mère lui avait demandé puis s'assit et observa un oeuf de taille imposante devant elle.

"A ton avis, il va bientôt éclore?
-Ca, je ne peux pas le savoir. C'est à toi de le dire.
-J'ai tellement hâte.
-C'est spécial et rare comme naissance. Les phénix sont associé à notre sang et il n'en existe que quatre. J'ai la chance de posséder ceux de mon père et de mon grand père en plus du mieux.
Et tu as, enfin, tu auras le quatrième."

En fait, Suzaku savait bien quand le phénix allait naître, mais c'était une sorte d'épreuve pour Psyché. Elle devait dès à présent créer un lien entre elle et les phénix. Leur famille avait été exterminée donc il ne restait qu'elles pour recréer cette magnifique race.

Suzaku mit le repas sur la table et les deux jeunes femmes se mirent à manger.

Les deux jeunes femmes finirent leur repas puis après avoir finit, Psyché sortit dehors.

"Je rentrerais dans quelques heures.
-D'accord, fais attention à toi."